Histoires de Pingouin

Qu'est-ce qui explique cette crise de panique incompréhensible quand on sent qu'on approche de la fin d'une histoire ?

J'ai passé tellement de temps et fait tellement d'efforts pour que Regarde-moi ne soit pas trop rapide, que les choses se passent progressivement, que maintenant qu'on arrive à la toute fin et que tout se précipite, c'est comme prendre le contrepied total de tout le reste du roman de l'histoire et JE SUIS TOUT DRAMA STRESSEE WRITER'S BLOCKEE.

Les "grosses" scènes se succèdent et j'ai beau me dire que c'est normal, c'est la fin, tout arrive à sa résolution... -_-

Il va falloir que je me remette à la narration. >.>

Bref, je ne fais que chouiner, ne faites pas attention.

Shakes : Vous vous souvenez que vous êtes à moi ? Que je vous ai créés ? Que vous me devez obéissance, respect, tout ça tout ça ?
Quentin et JB : *ignorent le pingouin superbement*
Shakes : Ou au moins la possibilité de conclure ce que j'ai commencé ?
Quentin et JB : *blanc total*
Shakes : De taper *une* phrase qui ne sonne pas totalement ridicule ? Je *sais* que vous êtes ensemble, heureux, tout va bien, que je vous emmer** profondément et que vous foutez bien de savoir que y'a des gens qui s'intéressent un peu à vous, mais c'est *vraiment* trop demander, deux petits milliers de mots ?
Quentin et JB : *inintérêt absolu*
Thomas : *écrase sa cigarette sur un mur virtuel* Moi par contre, je veux bien plaquer Aurélien contre un mur et lui faire des choses que je peux pas décrire dans ce post PG.
Shakes : AAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH !

(Shinia : Bon, bah, puisque t'arrives pas à écrire... Tu me mets de l'huile dans le dos ? :D
Shakes : ...)

*de nouveau plus le temps de rien faire*
*on déstresse*

Douuucement. D'abord je mets les drabbles à jour.
Ensuite je vais chercher ce que tout le monde a écrit sur le WSAC pour potentiellement le lire ce soir.
Puis je mets les Neuf Mondes à jour.
Je lis la troisième partie de la première faille. Je termine l'épisode 10 de KKM. Je mets en ordre mes notes pour avoir un rapport compréhensif.
Et avec le temps qu'il reste, je fique. *nods*

*soupir*
j'ai horreur de me sentir opressée...

75...
78...
92...
De nouveau la trouille de traverser le boulevard du Général de Gaulle...
Les catas et les 4.20 sont sortis sur la plage...
Les gens traversent la rue n'importe où...

AU SECOURS !!!! LES VACANCES D'ETE VIENNENT DE NOUS ATTEINDRE !!

de Dieu. J'avais presque oublié ce que c'était. ça fait au moins quatre ans que j'étais pas restée les deux mois ici. *frissonne d'horreur à la vision de sa plage chérie déjà envahie de corps huilés et de mioches hurlants*
Rendez-moi mon mois de Juin ! Donnez-moi mon mois de septembre !!!!! T____________________T

Excusez-moi... *snif*

sinon... Venez par ici ! ^____^

Vous ne faites pas 1m75, même à 10 ans vous n'espériez pas en faire 70, et à 15 vous avez renoncé au 65. Vous êtes déjà bien contente de flirter avec les 60.
Vous vous êtes jamais considérée comme vraiment petite, pas grande, c'est sûr, mais à ce que vous voyez autour de vous, vous êtes quand même relativement dans la moyenne...
Et puis un jour vous décidez d'aller acheter un pantalon. Un jean, un truc tout con.
Et vous découvrez que tous les pantalons à votre tour de taille ont 20 cm de jambe qui dépasse. Perplexe, vous tentez une autre taille, puis une autre coupe, peine perdue : vous pourriez toujours vous faire des rideaux avec le tissus qui déborde de votre plante de pied vers le sol.
Poliment, vous demandez, quand même quoi.
On vous répond que toute les collections sont maintenant comme ça. Que la population a grandi.
Ben, ouais, mais pas vous. Vous avez beau vous mesurer, vous avez pas pris les cinq centimètres qu'on vous jure que vous avez.
Parce que c'est l'apanage de la génération juste derrière vous, il parait.
Alors vous vous faites pas d'ourlet parce que c'est la mode mais parce que vous avez pas le choix, pour avoir un pantalon à peu près ajusté vous achetez un pantacourt, et vous avez renoncé au jean un peu évasé, parce que de toute façon, sur vous ça reste du cigarette.

Gah.