Loool, je comprend ! ^-^ Viens d'en finir un autre, e plit un peu mieux (par contre je parrie que c'est toujours aussi bourré de fautes XD, c pas relu . ^^p) Voilà :
A Shin Makoku, tout le monde sait que le noir est la couleur du Maoh. Seul lui et ses proches ont le droit de porter du noir. Mais, Wolfram connaît un secret sur le noir. Oui, un noir secret.
Le noir, c’est la couleur des yeux de Yuuri.
Attention, il ne parle pas là du pauvre noir mêlé de brun et de gris qui entoure la pupille du Maoh durant la journée, bien sûr.
Il parle du noir le plus intense, le plus profond. Celui qui n’apparaît que lorsque le soleil est caché, et les lumières éteintes.
En effet, les yeux de Yuuri ne sont pas noirs n’importe quand. Ses yeux ne sont du noir le plus pur que lorsque Wolfram le regarde.
A ces moments seulement les yeux de Yuuri semblent aspirer toute vie et toute lumière. Ils deviennent noirs, vraiment noirs, et absorbent tout ce qu’ils peuvent de Wolfram.
Sa respiration, sa raison. Ses sens, la chaleur de son corps et les pulsations de son cœur.
Quand les yeux du Maoh deviennent noirs, alors Wolfram ne peut que se laisser emporter par eux. Ils entourent le jeune homme mieux que la nuit même, et lui font penser les plus noirs désirs qu’il a jamais eu.
Alors, Wolfram se laisse guider par l’ombre des mouvements de Yuuri, et se rapproche tout près de son fiancé. Et il l’embrasse, et le serre contre lui.
Il fixe ces yeux si noirs, et laisse ses mains courir sur le dos, les épaules de Yuuri. Puis il retrace avec ses mains tremblantes les courbes de son torse. Sur le chemin, il déboutonne la tunique noire que porte le roi.
Ensuite il lèche et pose des baisers et des morsures sur toute les ombre de la poitrine de son souverain. Avec ferveur, il les savoure, et n’en n’oublie aucune. Il apporte même une attention toute particulière aux petits bouts de chair brune qui, quand il les mordille et les torture, de ses mains comme de ses dents, font gémir et haleter Yuuri.
Et quand le roi n’a plus de souffle, qu’il tremble sous ses doigts, alors Wofram remonte jusqu'à son visage et embrasse, harcèle les lèvres de son promis. En même temps, ses mains se faufilent dans le pantalon noir de Yuuri, et le font hoqueter, se presser se frotter contre le blond.
Entre les cuisses de Yuuri, les mains de Wolfram caressent, pressent et se meuvent. Et dans la plus profonde obscurité, Yuuri et Wolfram cherchent l’air qui leur fait tant défaut. Puis tout s’accélère. Le battement de leurs cœurs, leurs respirations difficiles. Les mouvement effrénés des hanches de Yuuri et des mains de Wolfram. Et Yuuri crie. Et Wolfram tremble, et se tend.
Alors il voit jusqu’au fond de la gorge du roi, noir comme un puit, et il ouvre ses yeux verts pour regarder les yeux de son fiancés. Ses yeux noirs, si noir de désir et de bonheur. Ses yeux d’un noir incomparable, parce que c’est la couleur du plaisir qu’ils découvrent ensemble, et de ces moments volés aux yeux des autres.
Absorbé par cette couleur si intense, Wolfram en oublie de fermer les yeux. Et le noir envahit sa vision, voile ses yeux à son tour, comme s’il était aspiré tout entier par le regard de Yuuri. Ce n’est pas un univers de blancheur aveuglante qui fait surface, comme lorsqu’il est seul avec sa jouissance, mais un monde de la couleur des yeux de Yuuri qui l’emporte.
Et ils restent, ensembles dans la chaleur de cette obscurité qui les cache aux yeux du monde.
C’est pou ça que pour wolfram, le noir n’est pas la couleur de la royauté, ni même l’emblème des maoh. Le noir, c’est son secret. C’est la couleur des yeux de Yuuri.
Ainsi, aussi vrai que le noir attire la lumière, les yeux noirs de Yuuri attire Wolfram à lui.
no subject
Date: 2005-12-17 10:46 pm (UTC)Viens d'en finir un autre, e plit un peu mieux (par contre je parrie que c'est toujours aussi bourré de fautes XD, c pas relu . ^^p)
Voilà :
A Shin Makoku, tout le monde sait que le noir est la couleur du Maoh.
Seul lui et ses proches ont le droit de porter du noir.
Mais, Wolfram connaît un secret sur le noir.
Oui, un noir secret.
Le noir, c’est la couleur des yeux de Yuuri.
Attention, il ne parle pas là du pauvre noir mêlé de brun et de gris qui entoure la pupille du Maoh durant la journée, bien sûr.
Il parle du noir le plus intense, le plus profond.
Celui qui n’apparaît que lorsque le soleil est caché, et les lumières éteintes.
En effet, les yeux de Yuuri ne sont pas noirs n’importe quand.
Ses yeux ne sont du noir le plus pur que lorsque Wolfram le regarde.
A ces moments seulement les yeux de Yuuri semblent aspirer toute vie et toute lumière.
Ils deviennent noirs, vraiment noirs, et absorbent tout ce qu’ils peuvent de Wolfram.
Sa respiration, sa raison. Ses sens, la chaleur de son corps et les pulsations de son cœur.
Quand les yeux du Maoh deviennent noirs, alors Wolfram ne peut que se laisser emporter par eux. Ils entourent le jeune homme mieux que la nuit même, et lui font penser les plus noirs désirs qu’il a jamais eu.
Alors, Wolfram se laisse guider par l’ombre des mouvements de Yuuri, et se rapproche tout près de son fiancé. Et il l’embrasse, et le serre contre lui.
Il fixe ces yeux si noirs, et laisse ses mains courir sur le dos, les épaules de Yuuri.
Puis il retrace avec ses mains tremblantes les courbes de son torse. Sur le chemin, il déboutonne la tunique noire que porte le roi.
Ensuite il lèche et pose des baisers et des morsures sur toute les ombre de la poitrine de son souverain. Avec ferveur, il les savoure, et n’en n’oublie aucune.
Il apporte même une attention toute particulière aux petits bouts de chair brune qui, quand il les mordille et les torture, de ses mains comme de ses dents, font gémir et haleter Yuuri.
Et quand le roi n’a plus de souffle, qu’il tremble sous ses doigts, alors Wofram remonte jusqu'à son visage et embrasse, harcèle les lèvres de son promis. En même temps, ses mains se faufilent dans le pantalon noir de Yuuri, et le font hoqueter, se presser se frotter contre le blond.
Entre les cuisses de Yuuri, les mains de Wolfram caressent, pressent et se meuvent.
Et dans la plus profonde obscurité, Yuuri et Wolfram cherchent l’air qui leur fait tant défaut.
Puis tout s’accélère. Le battement de leurs cœurs, leurs respirations difficiles. Les mouvement effrénés des hanches de Yuuri et des mains de Wolfram.
Et Yuuri crie.
Et Wolfram tremble, et se tend.
Alors il voit jusqu’au fond de la gorge du roi, noir comme un puit, et il ouvre ses yeux verts pour regarder les yeux de son fiancés.
Ses yeux noirs, si noir de désir et de bonheur.
Ses yeux d’un noir incomparable, parce que c’est la couleur du plaisir qu’ils découvrent ensemble, et de ces moments volés aux yeux des autres.
Absorbé par cette couleur si intense, Wolfram en oublie de fermer les yeux.
Et le noir envahit sa vision, voile ses yeux à son tour, comme s’il était aspiré tout entier par le regard de Yuuri. Ce n’est pas un univers de blancheur aveuglante qui fait surface, comme lorsqu’il est seul avec sa jouissance, mais un monde de la couleur des yeux de Yuuri qui l’emporte.
Et ils restent, ensembles dans la chaleur de cette obscurité qui les cache aux yeux du monde.
C’est pou ça que pour wolfram, le noir n’est pas la couleur de la royauté, ni même l’emblème des maoh.
Le noir, c’est son secret.
C’est la couleur des yeux de Yuuri.
Ainsi, aussi vrai que le noir attire la lumière, les yeux noirs de Yuuri attire Wolfram à lui.