...

[shakeskp]

Mithy vient de me psychanalyser à mort...
Mithy : "Tu ne pourras pas écrire autre chose que du fluff parce que tu ne connais pas la fin de la série, que KKm est déjà trop angsty pour toi et que tu crains tellement tellement la fin (avec raison) que tu anticipes et écris du fluff pour te remettre comme on installe un airbag dans une voiture pour prévenir les chocs."

C'est épouvantble ce que je crois qu'elle a raison. @___@

mais j'ai toujours envie d'angst... é_è

Vais faire ce que je peux. *motivée pour scribouiller*

Les commentaires sont classés NC-17 ! XD

Comments

Pornochic ? 3/5 XD

[mithynator.livejournal.com]

Heero eut soudain une lueur sauvage dans le regard : il voulait Duo.
Il voulait le connaître tout entier
Se repaître de son corps,
De sa peau,
De son odeur
De son sexe
Il le voulait à quatre pattes,
soumis à lui, ses rondeurs charnues frémissantes au creux de ses paumes aimantes.
Il voulait le lécher partout avant de le pénétrer.
Le marquer comme un animal pour l’homme qu’il était
Il voulait le faire sien.
La passion le faisait délirer, lui donnait envie de
le prendre comme une bête.
De le harponner de son puissant organe.
Le clouer au mur de désir.
En un mot
il voulait achever sa complétude
Il voulait qu’il lui appartienne et en même temps
Lui appartenir

Le soldat parfait se détacha de Duo pour pouvoir observer et toucher délicatement l’enveloppe charnelle de cet être merveilleux qui était entre ses bras puissants.

L’ange était longiligne. Ses membres fins et déliés paraissaient d’une fragilité attendrissante, ce qui était fascinant quand on savait avec quelle férocité il pouvait venir à bout de ses ennemis les plus résistants. La carnation de sa peau était si pure qu’on pouvait presque y voir par transparence rouler ses muscles délicat. Son torse rosissait à mesure que le regard du soldat se faisait scrutateur. Ses tétons ne demandaient qu’à être pris en bouche, mordillés, taquinés, torturés pour son plus grand plaisir. Sa généreuse et fière virilité dépourvue de la moindre pilosité ne demandait qu’à être aimée