1. Timeline ? What's a timeline :D 2. Une info que tu sais pas forcément : le père de Tim était un millionnaire qui évoluait dans le même cercle que Bruce.
Dissimulé derrière un pilier, Dick regardait la lucarne entrouverte juste sous le plafond de la salle de réception et se demanda combien d'os il lui faudrait déboîter pour réussir à y passer (l'atteindre n'était pas le problème, juste une question de sauter de la rampe de l'escalier au lustre principal qui, n'en déplaise à Alfred, était toujours assez solide pour le porter), lorsqu'une voix familière interrompit son plan d'action. « Et comment trouvez-vous la soirée, Monsieur Grayson ? — C'est la pire de cette année, grommela Dick, et je vois vraiment pas ce que je fais ici. » Clark lâcha un rire franc et chaud qui lui tira un sourire. « J'imagine que cette réponse n'est pas à imprimer, s'amusa Clark. — Depuis quand tu t'occupes de la rubrique « people » ? — Touché. » Dick soupira et indiqua la salle pleine d'hommes et femmes de la « bonne société ». « C'est à Tim de faire ça, pas à moi. — Pourquoi ? demanda Clark d'un ton sincèrement intrigué. — Il y est mieux adapté. — Tu vis dans le monde de Bruce Wayne depuis tes neuf ans. — Tim y est né. » Tandis qu’à lui, personne ne lui laissait oublier ses origines. Ça ne posait pas de problème à Dick, après tout, il était fier de ses origines, mais… depuis le temps, il aurait apprécié ne plus être une bête de foire. Encore que, d’orphelin recueilli par charité, il était passé à « héritier avec potentiellement plein de sous », et Bruce, sous son masque du milliardaire frivole, n’avait cessé de le rappeler à tout le monde ce soir-là. Et, d’accord, Dick appréciait se retrouver le centre d’attention de jolies filles et jeunes hommes enthousiastes, mais là, il était un peu dépassé par leur nombre. « Mmmh, fit Clark. Ils n’empêchent qu’ils t’apprécient. Je suis étonné de te trouver seul. » Dick se tourna vers lui, sourire en coin, regard par en-dessous et un doigt sur la hanche de son surhomme de voisin. « Mais je ne suis pas seul. » L’espace d’un battement cœur, il ne se passa rien, puis Clark lui sourit, plaça une main au creux de son dos et déclara : « Tu veux juste que je te protège de tes “prétendants”. »
DCU : Ô T(erre) 3verse, premier bout 1/2
2. Une info que tu sais pas forcément : le père de Tim était un millionnaire qui évoluait dans le même cercle que Bruce.
Dissimulé derrière un pilier, Dick regardait la lucarne entrouverte juste sous le plafond de la salle de réception et se demanda combien d'os il lui faudrait déboîter pour réussir à y passer (l'atteindre n'était pas le problème, juste une question de sauter de la rampe de l'escalier au lustre principal qui, n'en déplaise à Alfred, était toujours assez solide pour le porter), lorsqu'une voix familière interrompit son plan d'action.
« Et comment trouvez-vous la soirée, Monsieur Grayson ?
— C'est la pire de cette année, grommela Dick, et je vois vraiment pas ce que je fais ici. »
Clark lâcha un rire franc et chaud qui lui tira un sourire.
« J'imagine que cette réponse n'est pas à imprimer, s'amusa Clark.
— Depuis quand tu t'occupes de la rubrique « people » ?
— Touché. »
Dick soupira et indiqua la salle pleine d'hommes et femmes de la « bonne société ».
« C'est à Tim de faire ça, pas à moi.
— Pourquoi ? demanda Clark d'un ton sincèrement intrigué.
— Il y est mieux adapté.
— Tu vis dans le monde de Bruce Wayne depuis tes neuf ans.
— Tim y est né. »
Tandis qu’à lui, personne ne lui laissait oublier ses origines. Ça ne posait pas de problème à Dick, après tout, il était fier de ses origines, mais… depuis le temps, il aurait apprécié ne plus être une bête de foire. Encore que, d’orphelin recueilli par charité, il était passé à « héritier avec potentiellement plein de sous », et Bruce, sous son masque du milliardaire frivole, n’avait cessé de le rappeler à tout le monde ce soir-là. Et, d’accord, Dick appréciait se retrouver le centre d’attention de jolies filles et jeunes hommes enthousiastes, mais là, il était un peu dépassé par leur nombre.
« Mmmh, fit Clark. Ils n’empêchent qu’ils t’apprécient. Je suis étonné de te trouver seul. »
Dick se tourna vers lui, sourire en coin, regard par en-dessous et un doigt sur la hanche de son surhomme de voisin.
« Mais je ne suis pas seul. »
L’espace d’un battement cœur, il ne se passa rien, puis Clark lui sourit, plaça une main au creux de son dos et déclara :
« Tu veux juste que je te protège de tes “prétendants”. »